Kumamoto day 2 : Rugby Day

1 victoire et une défaite pour les Baabaas contre 2 équipes locales.
Aucune idée du résultat des vieux si ce n’est Jean-Pierre M. s’est arraché un tendon du biceps droit.
Manifestement les japonais s’étaient bien préparés pour nous recevoir. À part un ou 2 dodus, les autres c’était physico-physique option rapide.
À la fin de ces matchs, détente dans un onsen non loin de la parce que ‘Fu, où sont les vestiaires?’ Ouais. Pas de vestiaires non plus à Kumamoto.
C’est un concept.
Gros repas ensuite sur place. Sachant qu’on devait faire la 3ème mi temps avec les joueurs de Kumamoto à la fan zone pour voir les matchs du jour (Argentine-Angleterre et Japon-Samoa), tout le monde avait bien bien mangé.
Et là, surprise!! 3ème mi-temps dans un restaurant avec repas gargantuesque déjà servi… On a fait ce qu’on sait faire : manger à nouveau et boire pendant que les deux p*ze se faisaient offrir moult cadeaux tout en profitant d’un spectacle de danseuses à lanterne sur la tête. Et puis chanter et boire encore et manger toujours. Et puis chanter. Nos hôtes étaient en folie. Gros moment de partage et d’émotions encore. Pour être sûr de notre fait, paquito dans le resto. Pas d’incident diplomatique.

Et ensuite fan zone.
Enfin, fan zone remplie donc pas accessible. Alors les groupes se sont scindés à la recherche de différents endroits susceptibles de retransmettre le match Japon-Samoa. Certains ont atterri dans un bar à sake, d’autres dans des arbres sur la terrasse d’un centre commercial surplombant la fan zone pour voir l’écran géant. Et quelque soit le groupe, chacun était accompagné de joueurs de Kumamoto.
Fin du match, victoire des japonais pour notre plus grande joie. Retour à l’hôtel pour la majorité des Baabaas sauf 2 bas-alpins (dont nous tairons les noms) et le shadow reporter.
Un paquito après, une chenille plus loin pour la plus grande joie des kumamotoites. Le paquito gate et bien oublié, comme la mission green nectar…

Quant au Docteur Mabuse, il a continué à chercher le poteau responsable de la destruction du rétroviseur gauche et éraflures multiples sur la carrosserie. Sans parler de la batterie HS. En effet au Japon il semblerait qu’il faille faire des constats avec des objets. À ce sujet on avait bien vu un trafic inspector à Kyoto enquêtant sur un délinquant en scooter entre 2 pare- chocs. La rumeur veut que Carlos Ghosn attend le Docteur M dans sa cellule.

Kumamoto day 1 : RAS tout le monde HS

C’était les walking deads à Kumamoto. Longue journée, groupes éparpillés occupés à errer. Avant ça c’était la mairie et le protocole. Foi de Président c’était protocolaire. Pas de Paquito. Le soir, c’était réception organisée par l’association pour l’amitié franco-japonaise de Kumamoto pour les walking deads. Très sympa. Nos hôtes ont fait l’effort de sortir des bières, On a pas bu grand chose. Faut croire qu’un zombie ça boit pas…un mythe tombe.
Spectacle de théâtre No. Nous ne sommes pas des connaisseurs, certains japonais non plus. C’était très no.
Spectacle de kaito ensuite. Phénoménal. La preuve que même en slip on peut inspirer le respect.
En parlant de respect, spéciale dédicace à Emmanuelle femme de p*ze qui s’est arrêtée et a accepté de faire la bise à Baptiste Serin alors qu’elle était pressée. Même combat pour Noah fils de p*ze qui a accepté de poser avec Vahaamahina. Respect total devant tant d’humilité.

Fukuoka mon amour : Day 2

Que dire ? par ou commencer? comment faire avec un très gros mal de tête? Peut être ne rien raconter parce que tous ce qui se passe au Japon reste au Japon. Se dire que ce gros mal de tête résume à lui tout seul la journée et surtout notre dernière nuit fukuoite. Le rugby c’est du rugby. Joli terrain mais

Fu où sont les vestiaires?

Ça restera possiblement la phrase culte du déplacement. Bin ouais quoi, y avait pas de vestiaires et seulement 2 douches pour approximativement près d’une centaine de joueurs. Les équipes étaient composées en fonction de catégorie d’âge et complétées par des joueurs d’autres équipes selon le déroulé des matchs. Je vous passe le côté sportif qui était équilibré, physique et plus ou moins rapide selon les catégories 😀. À noter la présence d’une joueuse, d’ailleurs élue MVP, et de quelques joueurs de plus de 80 ans.
Réception au Asahi Beer Garden avec gros repas, moult bières et pleins de chansons. Niveau 3ème mi-temps les Baabaas ont survolé les débats. Tellement survolé que nous nous sommes mis à la quête, non pas de Get 27 macération 10 ans, mais d’un karaoké après le Asahi Beer Garden. Une pause dans un bar pour nous rafraîchir de bières et même de cidre pour l’un (et il n’est pas breton). Pas de visites de la police cette fois mais des chansons à faire boire tous les japonais du bar. Bar ou un breuvage vert était présent mais pas homologué.
Lever de camp après des tournées et des rappels, pour enfin atterrir dans notre karaoké. Bizarrement là, ça commençait à chanter légèrement faux… À tel point qu’on est parti, enfin quelques courageux (ou suicidaires ), danser.

Et si vous vous demandez si les paquitos sont interdits au Japon, la réponse est non 😀

Fukuoka : day one

Houlala ou plutôt ola la.
Houlala pour le match de la France plutôt quelconque et approximatif ce qui a rassuré quelque peu les Baabaas pour leur tournoi triangulaire du day 2 Fukuoka en se disant « si on fait pareil, nous sommes les dignes représentants du rugby tricolore ».
Houlala pour toutes les belles madames croisées dans la rue à la recherche du green nectar macération 10 ans. À croire que toutes les jolies japonaises sont ici. À titre de comparaison, Kyoto à besoin d’un renfort de philippines pour tenir la comparaison.
À ce stade de la tournée, il se murmure que certains Esquiches veulent s’installer au Japon, amoureux de la culture. Les cœurs d’arti-choux japonais…
En revanche, nous avons fait choux blanc japonais pour le Get 27. Et le 31 et le 58. Parce que oui, nous prenons très au sérieux la quête verte.

Oooooo la la. C’est toutes les olas qu’une dizaine de Baabaas ont essayé de faire partir. Beaucoup d’abnégation de la part de Noah et Emmanuelle, des renforts japonais heureux de participer et malheureusement des petits clapots allant s’éteindre sur les berges des plages de Fukuoka.
Nous avons quand même reçu le prix international des lanceurs de vagues, prix qui peut rendre jaloux un autre lanceur, Snowden. En espérant que notre prix fasse boule de neige (humour Snowden/neige) et que nous arrivions à faire un tour de stade à Kumamoto. Nous les enfants de Chirac San. Japonais super cools, heureux de nous voir, d’essayer de discuter et partager.
Pas de Paquito dans le métro, juste des chansons avec que des gens contents et heureux de partager. Amen, je vous le dis mes frères, putain c’était bon. À tous les Esquiches qui nous regardent depuis la haut, pour la paix et l’amour dans le monde, faut des coupes du monde rugby au Japon tous les jours.

La promesse : Kyoto, deuxième jour

Fidèle à la promesse qui a été faite à Diouf sur le quai du car avant de partir, bin ouais on a cherché le fameux nectar vert au wasabi si cher à Diouf. Et on l’a presque trouvé. On a trouvé le Get 27 au wasabi macération 5 ans. Pas le dix ans.
Alors on va continuer à chercher et écumer tous les bars à whisky et autres bouges remplis de Philippines, les unes plus accueillantes que les autres, du Japon. Certains sont bien allés chercher du côté des geishas mais ces dernières ne servent que du thé. Au wasabi aussi.
Demain c’est Fukuoka. Peut être plus de chance pour le green nectar macération 10 ans.
À noter que pour la suite du séjour il a été décidé d’adjoindre un assistant à notre reporter, ce dernier ayant trop donné de sa personne dans la quête (quête) verte ( et on ne parle pas de Hulk).

Par souci de confidentialité nous tairons le nom dudit reporter par contre l’assistant appointé est un fils de P…reze.

La proximité géographique du voisin coréen donnerait-elle des envies de dynastie à notre Preze vénéré qui n’a d’égal que le plus fort des tsunamis et à côté duquel Fukushima n’est qu’une vaguelette à peine digne d’être bodysurfée.
Toujours est-il qu’une délégation d’esquiches est allée au temple de la fertilité pour verser des seaux de pièces et souhaiter encore plus de descendants à notre bien aimé Fu Manchu 1er.

Premier jour à Kyoto

Visite du temple de Fushimi, du pavillon d’argent, du pavillon d’or… Au programme zen, sérénité et spiritualité. À méditer, la version gin (tonic) et yang:

Tu ne fais pas la fête, tu joues pour gagner, mais tu perds à la plancha, tu perds à la troisième mi-temps. À ce compte-là, tu ferais mieux d’être pro, au moins tu gagnerais du fric

Un pilier de bar

Arrivée au Japon

Arrivée à Osaka avec un peu de retard. Osaka 3eme ville du Japon avec 2,5 millions d’habitants.
Et là, 1er miracle le baabaas Marc Laporte a réussi à passer la quarantaine malgré ses symptômes proches de ceux du SRAS… Soit les caméras thermiques de l’aéroport ne marchaient pas ou alors le préposé au ‘toucher’ a pris peur devant le cas. Toujours est-il que nous cherchons activement des masques pour Marc, façon mode locale, histoire de passer inaperçu. À voir le look que ça va faire (casquette /masque).
Nous avons été accueillis par Jean-Pierre et Anne, ainsi que par Taketo San (« longue montagne »), ce dernier ayant déjà gravi le mont Fuji (3800m) 10 fois, qui était envoyé par l’agence de voyage pour nous amener en bus de l’aéroport d’Osaka à notre hôtel à Kyoto

1ere impression de Osaka le 29 sept la nuit : c’est moite. Pas de pluie à l’horizon. Nous sommes, bien entendu, aux aguets concernant les infos relatives au typhon ‘Mitag’ qui menacerait possiblement la tenue de France/USA.

Les Baabaas sont partis !

Après près d’un an de préparation, avec le TomTom club, le groupe au quasi-complet est prêt à s’envoler pour le Japon, et la coupe du monde de rugby.

Nous retrouverons 3 joueurs sur place et ainsi les Barbarians d’Aix-en-Provence au complet affronteront 2 équipes japonaises et une équipe canadienne, dans les villes de Fukuoka et Kumamoto.

Mais pour commencer, un long vol au départ de Nice, avec transit à Dubai nous attend.

La suite, dans 24h…

Dans un an les 30 ans!

Bien entendu les Esquiches seront tous réunis pour fêter cet événement avec la pompe, le décorum, l’emphase et l’extravagance nécessaire. Mais avant cela, la saison 2018/2019 a véritablement été lancée la semaine dernière par un match spectaculaire et ô combien attendu, qui fut suivi d’une plancha mémorable, pour une occasion qui ne l’est non moins. Je parle bien sûr des 65 ans d’un des fondateurs des Esquiches : celui qui, par son jeu de jambes, fait passer le rugby pour de la natation synchronisée ; celui pour qui il est toujours 5h à Tucumán et qui sait où acheter une tchoukoutou lorsque le besoin s’en fait sentir.

Diouf, car c’est bien de lui qu’il s’agit, 65 ans et toujours présent, sur et en dehors du terrain. L’AUC coule dans ses veines, mais c’est en visionnaire qu’il a, avec d’autres illustres précurseurs, fondé ton club, Esquiche. Un club qui repose sur des valeurs :

  • Le plaisir : le plaisir de jouer ensemble, le plaisir de se retrouver semaine après semaine, le plaisir de partager avec les autres socios le vin, le pain, et autres victuailles de nos régions.
  • La camaraderie : venant de tous les horizons, géographiques et  sociologiques, les Esquiches cultivent l’amitié au long cours, celle qui donne sans attendre de geste en retour, celle qui rend service, celle qui accompagne et protège.
  • Le rugby : des plus jeunes aux plus âgés, des plus expérimentés aux plus novices, c’est le rugby qui nous réunit.

C’est pour cela que tu dois aimer ton club, Esquiche. Tu dois l’aimer et l’aider à passer ce cap de la trentaine en beauté par ta présence et ton engagement, par ta bonne humeur et ton envie.

À jeudi, je compte sur toi.

2017/2018, une grande saison s’annonce

Salut Esquiche,

Le sens-tu ce parfum de rentrée? Celui-là même qui te faire rechercher fiévreusement ton vieux sac de sport, pour vérifier que tes chaussures à crampons n’ont pas trop souffert de ces deux mois d’été, que tu rentres toujours dans ton short et ton maillot, parce que sinon, tu vas devoir te fader d’aller au Décathlon de Bouc-Bel-Air, et que Maman n’a pas rangé ta serviette au milieu du reste du linge de maison…

Le sens-tu ce parfum de rentrée? Celui-là même qui remonte à ton cerveau et te susurre ce merveilleux refrain : jeudi c’est permis, avec les copains j’ai rugby, jeudi c’est aussi, le jour du BEC j’ai compris.

Le sens-tu ce parfum de rentrée? Celui-là même qui te fait oublier tes petits soucis, parce qu’au rugby tes copains seront là et qu’avec eux, tu n’as pas besoin de faire semblant. Que tu viennes d’arriver à Aix ou que tu y sois né, que tu sois un jeune (voire très jeune) vétéran ou un vieux briscard, que tu aies appris le rugby à 6 ans ou à 30, tu peux être sûr qu’ils te respecteront si tu te montres sincère, loyal et ouvert.

Le sens-tu ce parfum de rentrée? C’est celui des planchas, des dégustations de vin, des troisième mi-temps à la charcuterie des régions d’origines de chacun.

Le sens-tu ce parfum de rentrée? C’est celui du certificat médical, de l’assurance FFR (ou pas).

Le sens-tu ce parfum de rentrée? C’est celui qui te rappelle que la semaine commence le jeudi, entre 20h et 20h30 au Stade Maurice David.

Bonne fin de semaine, Esquiche, et à jeudi.