Fukuoka : day one

Houlala ou plutôt ola la.
Houlala pour le match de la France plutôt quelconque et approximatif ce qui a rassuré quelque peu les Baabaas pour leur tournoi triangulaire du day 2 Fukuoka en se disant « si on fait pareil, nous sommes les dignes représentants du rugby tricolore ».
Houlala pour toutes les belles madames croisées dans la rue à la recherche du green nectar macération 10 ans. À croire que toutes les jolies japonaises sont ici. À titre de comparaison, Kyoto à besoin d’un renfort de philippines pour tenir la comparaison.
À ce stade de la tournée, il se murmure que certains Esquiches veulent s’installer au Japon, amoureux de la culture. Les cœurs d’arti-choux japonais…
En revanche, nous avons fait choux blanc japonais pour le Get 27. Et le 31 et le 58. Parce que oui, nous prenons très au sérieux la quête verte.

Oooooo la la. C’est toutes les olas qu’une dizaine de Baabaas ont essayé de faire partir. Beaucoup d’abnégation de la part de Noah et Emmanuelle, des renforts japonais heureux de participer et malheureusement des petits clapots allant s’éteindre sur les berges des plages de Fukuoka.
Nous avons quand même reçu le prix international des lanceurs de vagues, prix qui peut rendre jaloux un autre lanceur, Snowden. En espérant que notre prix fasse boule de neige (humour Snowden/neige) et que nous arrivions à faire un tour de stade à Kumamoto. Nous les enfants de Chirac San. Japonais super cools, heureux de nous voir, d’essayer de discuter et partager.
Pas de Paquito dans le métro, juste des chansons avec que des gens contents et heureux de partager. Amen, je vous le dis mes frères, putain c’était bon. À tous les Esquiches qui nous regardent depuis la haut, pour la paix et l’amour dans le monde, faut des coupes du monde rugby au Japon tous les jours.

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