Nous sommes donc allés jouer à Gignac.
Nous avions même des spectateurs : Dr FK, Christophe le past-Président, Gérard Mendoza, et Matthias Soulié
Regardez sur Google Maps le déplacement n’est pas si loin que ça. Surtout quand Franck conduit, que l’on part en dernier et que l’on arrive les premiers au stade.
Nous craignions de ne pas être 15 nous fûmes une vingtaine, donc 4 Crac. Nos hôtes étaient moins nombreux.
Mais sur le terrain à 15 contre 15 le le score n’a pas été en notre faveur, malgré le bon arbitrage de l’homme en rose (Pascal Carminati aurait adoré)
Le Score ? 4-2 pour les Bouilles d’après notre Président. À mon, avis c’est plutôt 5-2,mais le Président pense déjà à sa réélection…
1er tiers-temps : 2-0 pour les Bouilles ; on a toujours du mal à démarrer.
2ème tiers-temps : 1-1 (2-1 d’après moi) avec un magnifique essai très construit des Esquiches, marqué par Romain J. après une course de 82,3 mètres!
3ème tiers-temps : 1-1 (on commence à comprendre comment ça se joue) avec un essai pour nous de Joseph du Crac (je crois, car j’étais loin. Comme dit Moscato quant tu joues en mélée et que tu relèves la tête il te faudrait un scooter pour aller là où se trouve le ballon).
Nous aurions bien mieux résisté en étant un peu mieux organisés en défense, mais on ne se refait pas. Nous sommes un club un peu anarchique qui boit (qui buvait?) du vin blanc.
Ce match a aussi été le match des touches. Nous en avons fait un grand nombre, qu’aurait pu préciser Diouf s’il avait été là pour compter. C’étaient beaucoup de penaltouches et pas en notre faveur (souvent pour plaquage haut : « Tackle in the fucking legs » conseillerait Glen)
Des ballons attrapés en touche? J’ai honte mais pas un je crois! Je n’étais pas seul Christophe Cauchon saute aussi très bien mais la balle ne lui arrivait pas dans les mains.
l’After a été sympa dans leur club-house : bière acceptable, déclinaison sur les pâtes au gruyère.
Leur Cagoulin vaut le détour, il y a du travail dessus, heureusement ils ne le remettent pas aux visiteurs. Nous aurions certainement pu être plusieurs à postuler pour cet Oscar du manque de lucidité.
La morale de l’histoire est toujours la même :
NOUS AVONS PASSE UNE TRÈS BONNE SOIRÉE ET CEUX QUI NE SONT PAS VENUS ONT EU TORT.