C’était la Coupe du Monde 2023…

Ça y est, elle est finie la Coupe du Monde que le XV de France devait gagner devant son public, prouvant par la-même que la France est une grande nation du Rugby mondial, et que ses joueurs sont les Meilleurs™. Résultat? Chou blanc pour les Bleus. Et une drôle d’impression pour les supporteurs français, comme un arrière-goût d’inachevé…

Et pour nous, nous les Esquiche-Coudes du Pays d’Aix? Ah, là c’est différent! Notre Coupe du Monde à nous a été superbe, grandiose, brillante de mille feux, et surtout beaucoup plus courte.

Mais quelle intensité!

Une semaine de partage, de camaraderie, de joies et de peines pour certains, de rires, de chansons, de boissons, de repas en commun, de rencontres avec des joueurs et des supporteurs venant d’horizons différents (les Japonais de l’Est et les Canadiens de l’Ouest). Une semaine de stress aussi, pour toute l’équipe qui avait réussi, tant bien que mal, à organiser cela, pour le plaisir des grands et des petits. Une semaine de rugby enfin, avec des matchs entre anciens sur les terrains aixois et des matchs à voir ensemble, sur écran géant, là où le cœur du rugby aixois bat, à la Bodega du Stade Maurice David.

Tout a commencé par l’arrivée de nos amis Canadiens et Américains des Pacific Northwest Old Growth. Nous les avions rencontrés il y a 4 ans, lors de la tournée des Baabaas aixois au pays du soleil levant, à Fukuoka et avions participé avec eux à des rencontres rugbystiques contre l’équipe locale. Ils ont répondu «présents!» cette année. Et comme promis il y a 4 ans à l’issue d’une troisième mi-temps mémorable, ils ont été au niveau où nous les attendions : intenses durant le match du mardi soir, joyeux et expansifs durant la soirée d’après match, amateurs éclairés lors du match de Provence Rugby contre Soyaux Angoulême le mercredi soir, et bons camarades lorsque, rejoints par une partie des joueurs Japonais, ils ont regardé France – Uruguay avec nous.

L’enthousiasme des Canadiens contrastait bien entendu avec la réserve (de façade) de nos hôtes Japonais. Ce groupe, constitué de vétérans des clubs de Fukuoka (福岡市) et Kumamoto (熊本市), accompagnés de leurs épouses, a donc passé 3 jours pleins à Aix-en-Provence, ce qui nous a permis de leur faire découvrir quelques sites typiques de notre région : visite du Château du Seuil, de Marseille, du centre ville d’Aix-en-Provence, et pour certains de l’Occitane en Provence.

Au cours d’un dîner de gala, organisé au Château de la Pioline, les liens d’amitiés entre les Japonais et les Provençaux ont été renforcé dans une ambiance bon enfant. Était-ce l’accueil au son d’un groupe folklorique provençal, la qualité du repas préparé par l’équipe du chef Pierre Reboul, le plaisir partagé de chanter à tue-tête dans la douce nuit aixoise, ou bien le petit spectacle des «chapeaux» offert par quelques Esquiches qui rendit cette soirée unique? Toujours est-il qu’elle se finit en dansant, laissant tous les participants dans les meilleures dispositions pour le tournoi du lendemain.

C’est en effet le samedi qu’eut lieu un mini tournoi, où trois équipes de moins de 60 ans et deux de plus de 60 ans purent se défier sur le terrain principal du Stade Maurice David. Dans la catégorie des moins de 60 ans, rejoints par l’équipe voisine d’Oval’Arc, les Baabaas d’Aix (constitués de joueurs des Esquiche-Coudes et du TomTom Club) et les Japonais (dans une équipe mixte Kumamoto-Fukuoka) se sont alors affrontés sur 4 quart-temps avec pour objectif de profiter au maximum du lieu, de l’ambiance, et d’une météo clémente.

Les joueurs Japonais montrèrent toutes leurs qualités de vitesse, et une farouche volonté de défendre leur ligne, ainsi qu’une endurance impressionnante qui leur permit de jouer pendant les 4 quart-temps. Cependant ce sont bien les équipes locales qui marquèrent le plus, et gagnèrent toutes les confrontations.

Les plus de 60 ans, eux, en point d’orgue de la journée, nous démontrèrent que l’envie et le plaisir de jouer permettent encore et toujours d’oublier le poids des années et de se dépasser. Il y eut quelques blessures dans les rangs aixois, Le tout sous les yeux de Sophie Joissins, Maire d’Aix-en-Provence, qui donna le coup d’envoi en présence des présidents des deux clubs locaux et de Jean-Pierre Dupain, Président d’honneur des Esquiche-Coudes, et avec la participation du Président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, Renaud Muselier, dans les rangs de l’équipe des plus de 60 ans.

Après la victoire de l’équipe des plus de 60 ans, cette belle journée de rugby se finit par une plancha monumentale, digne d’un banquet de fin d’album d’Astérix.

Plancha de Noël 🎄

Tout est dans le titre : jeudi dernier, c’était le dernier entrainement de 2022  et comme la coutume le veut, ce fut l’occasion de célébrer la fin de l’année par une Plancha-de-Noël 🎉

Fait notable : avant le point d’orgue de la soirée, nous nous sommes retrouvés à plus de 30 sur le terrain 🏉 Perdus dans la brume aixoise, on se serait cru dans la banlieue de Londres, la classe et le french flair en plus. Un match de haute tenue (d’après nos standards, ne nous emballons pas non plus), avec un Benji sur-vitaminé (un petit peu trop peut-être) et un Mathias étonnamment silencieux (un petit peu pas assez peut-être) 😆

Bref, après cet échauffement, nous sommes passés aux choses sérieuses : entrée en jeu des finisseurs (comme on dit de nos jours) pour dépasser les 60 joueurs et déclenchement des agapes. Jambon ibérique (ramené de Barcelone par un ex-président), crevettes sautées (marinées par un ex-président), bœuf aux oignons, effiloché de porc, magret de canard et kefta le tout cuits à la plancha par des cuistots dont la ré-hydratation régulière était assurée par le président (l’actuel cette fois-ci, pas un ex-). Je n’évoquerai pas le fromage et les desserts par pudeur. Je ne parlerai pas des légumes qui allaient avec car je suis bien élevé 🦐 🐮 🐷 🦆

Évidemment, le tout arrosé de quelques bouteilles de vin 🍷 que les participants avaient pris soin d’apporter et du célébrissime et tout aussi incontournable get-de-Diouf © pour finir la soirée. Notons à ce sujet que certains imprudents ont tenté d’introduire de la poire et de la menthe artisanales mais que le courage des plus valeureux a permis de faire disparaitre toutes traces de ces tentatives !

Finalement, après quelques chansons, de longues discussions, un paquet d’éclat de voix et de nombreux rires, nous nous sommes quittés à une heure avancée mais à ce moment-là, à Tucuman, il n’était que 22h30 donc tout va bien 🌜

Bravo aux organisateurs, merci à tous pour cette belle année et faisons en sorte que 2023 soit encore plus belle.

Bon bout d’an et a l’an que ven !

PS On a pas pris beaucoup de photos mais on voit quand même que ça rigole, sauf peut-être Francky qui fait semblant de réfléchir, même si nous savons tous de quoi il est capable 🧐

Le retour des Esquiches-Coudes sur le pré

Pour le premier match de l’année, l’objectif était simple : prendre du plaisir en jouant un match ! Après une saison 2021 – 2022 un peu compliquée sur le plan sportif, il fallait redresser la barre et ce fut chose faite 💪

Nous étions 19 Esquiches-Coudes dont 3 Esquiches-CRAC, donc même les plus mauvais en maths d’entre nous l’auront compris : il y avait une équipe Esquiches-Coudes Canal Historique sur le pré lundi soir : Objectif atteint 👏👏

Face à nous la belle équipe des Rascasses d’Aubagne, qui nous ont accueillis à bras ouverts, que ce soit sur le terrain (où ils avaient tendance à les refermer vite et fort) ou à diner ensuite. Le score de 1 essai à 0 en faveur des Rascasses ne reflète pas du tout la physionomie du match : nous avons totalement dominé la première mi-temps et joué la quasi-totalité du temps dans leur moitié, malheureusement sans marquer. La deuxième mi-temps, plus équilibrée, nous a permis de montrer tout le coeur que nous savons avoir pour ne rien lâcher (mention spéciale à Pierre bien sûr 😂). Le match se termine sur une interception adverse qui sera vite oubliée pour cette fois, mais le principal intéressé a proposé la création d’un « cagoulin » et l’idée semble faire des émules !

Bref, pas sûr qu’on méritait de gagner ce match, mais il est sûr qu’on ne méritait pas de le perdre (Copyright Forestiere du LOU du MHR du Var)

Pour l’analyse technique, je citerai le président :

En attaque : du jeu avec des balles qui vont en bout de ligne, des regroupements sans faute, et une domination territoriale notable.

En défense: de beaux plaquages sous la ceinture, des récupérations de balles sous la pression, et quelques beaux turnovers

Enfin, et c’est sûrement, le plus important, la 3ème mi-temps s’est déroulé dans une bonne ambiance, et a permis de confirmer que nous sommes imbattables sur ce terrain.

Bref, une belle soirée de rugby comme on les aime : RDV est donné en décembre pour le retour. Donc

  • Esquiche : va voir ton médecin et finis ta licence parcequ’il n’y a pas moyen qu’on gagne pas le retour.
  • Futur-Esquiche : il n’est pas trop tard pour nous rejoindre jeudi soir à Maurice David et pouvoir dire que c’est toi qui as fait la différence.

Kumamoto day 3 : Rugby Day Again

Lecture des journaux locaux comme d’habitude en commençant par les dernières pages et de droite à gauche. On s’est vite acclimate finalement. Et la surprise : 2 Baabaas font la Une (ou alors la dernière techniquement). Ça pourrait être une anecdote dans un voyage rempli de ces dernières comme par exemple notre capitaine de tournée (dons nous tairons le nom tant cette anecdote n’est pas en son honneur) qui n’arrive pas à pénétrer dans le spa parce que ses mains savonneuses glissent sur la poignée de porte. Ce n’est qu’au bout de 10 tentatives qu’il comprit qu’il fallait peut être se rincer…le tout sous le regard compatissant et solidaire du shadow reporter.
Ou l’anecdote du docteur Mabuse amené par la maréchaussée de Kumamoto en plein dîner pour signer son constat avec ce fameux poteau et faire acte de repentance. Courage Carlos, tu n’es plus seul pour très longtemps.
Mais revenons à nos autres moutons égarés.
La célébrité de nos 2 Baabaas s’est révélée à la gare de Kumamoto où les gens s’arrêtaient pour demander des selfies. Fatigant à la fin, mais toujours de bonne grâce 😎
Direction le stade de Kumamoto. Nous croisons des joueurs locaux avec les maillots Baabaas échangés la veille. Très sympa.
Pour ceux qui est du 115 de France, on est dans le domaine de l’urgence… Enfin toujours est-il qu’au bout de l’ennui, vint la qualification. En principe ça devrait être l’Australie. Ça va chambrer à Maurice David. Mais comme Israël Folau a pu dire ‘les alcooliques du jeudi soir, allez vous faire voir’ 🤗
Au delà de l’intrusion de la maréchaussée, le dernier repas Kumamoto à été marqué par le discours des capitaines. Discours qui ne sera pas publié parce que ces choses-là, c’est l’intimité d’un groupe (et surtout parce que le shadow reporter n’y était pas). Soirée terminée en kimonos puis au onsen. La vie locale en somme.
Sayonara et arigato pour cette tournée.
Un dernier mot tout de même, fâcherie sérieuse entre bas-alpins, à tel point que Greg a voulu donner Sissou aux TomTom, mais que ces derniers n’étaient pas très emballés…

Kumamoto day 2 : Rugby Day

1 victoire et une défaite pour les Baabaas contre 2 équipes locales.
Aucune idée du résultat des vieux si ce n’est Jean-Pierre M. s’est arraché un tendon du biceps droit.
Manifestement les japonais s’étaient bien préparés pour nous recevoir. À part un ou 2 dodus, les autres c’était physico-physique option rapide.
À la fin de ces matchs, détente dans un onsen non loin de la parce que ‘Fu, où sont les vestiaires?’ Ouais. Pas de vestiaires non plus à Kumamoto.
C’est un concept.
Gros repas ensuite sur place. Sachant qu’on devait faire la 3ème mi temps avec les joueurs de Kumamoto à la fan zone pour voir les matchs du jour (Argentine-Angleterre et Japon-Samoa), tout le monde avait bien bien mangé.
Et là, surprise!! 3ème mi-temps dans un restaurant avec repas gargantuesque déjà servi… On a fait ce qu’on sait faire : manger à nouveau et boire pendant que les deux p*ze se faisaient offrir moult cadeaux tout en profitant d’un spectacle de danseuses à lanterne sur la tête. Et puis chanter et boire encore et manger toujours. Et puis chanter. Nos hôtes étaient en folie. Gros moment de partage et d’émotions encore. Pour être sûr de notre fait, paquito dans le resto. Pas d’incident diplomatique.

Et ensuite fan zone.
Enfin, fan zone remplie donc pas accessible. Alors les groupes se sont scindés à la recherche de différents endroits susceptibles de retransmettre le match Japon-Samoa. Certains ont atterri dans un bar à sake, d’autres dans des arbres sur la terrasse d’un centre commercial surplombant la fan zone pour voir l’écran géant. Et quelque soit le groupe, chacun était accompagné de joueurs de Kumamoto.
Fin du match, victoire des japonais pour notre plus grande joie. Retour à l’hôtel pour la majorité des Baabaas sauf 2 bas-alpins (dont nous tairons les noms) et le shadow reporter.
Un paquito après, une chenille plus loin pour la plus grande joie des kumamotoites. Le paquito gate et bien oublié, comme la mission green nectar…

Quant au Docteur Mabuse, il a continué à chercher le poteau responsable de la destruction du rétroviseur gauche et éraflures multiples sur la carrosserie. Sans parler de la batterie HS. En effet au Japon il semblerait qu’il faille faire des constats avec des objets. À ce sujet on avait bien vu un trafic inspector à Kyoto enquêtant sur un délinquant en scooter entre 2 pare- chocs. La rumeur veut que Carlos Ghosn attend le Docteur M dans sa cellule.

Kumamoto day 1 : RAS tout le monde HS

C’était les walking deads à Kumamoto. Longue journée, groupes éparpillés occupés à errer. Avant ça c’était la mairie et le protocole. Foi de Président c’était protocolaire. Pas de Paquito. Le soir, c’était réception organisée par l’association pour l’amitié franco-japonaise de Kumamoto pour les walking deads. Très sympa. Nos hôtes ont fait l’effort de sortir des bières, On a pas bu grand chose. Faut croire qu’un zombie ça boit pas…un mythe tombe.
Spectacle de théâtre No. Nous ne sommes pas des connaisseurs, certains japonais non plus. C’était très no.
Spectacle de kaito ensuite. Phénoménal. La preuve que même en slip on peut inspirer le respect.
En parlant de respect, spéciale dédicace à Emmanuelle femme de p*ze qui s’est arrêtée et a accepté de faire la bise à Baptiste Serin alors qu’elle était pressée. Même combat pour Noah fils de p*ze qui a accepté de poser avec Vahaamahina. Respect total devant tant d’humilité.

Fukuoka : day one

Houlala ou plutôt ola la.
Houlala pour le match de la France plutôt quelconque et approximatif ce qui a rassuré quelque peu les Baabaas pour leur tournoi triangulaire du day 2 Fukuoka en se disant « si on fait pareil, nous sommes les dignes représentants du rugby tricolore ».
Houlala pour toutes les belles madames croisées dans la rue à la recherche du green nectar macération 10 ans. À croire que toutes les jolies japonaises sont ici. À titre de comparaison, Kyoto à besoin d’un renfort de philippines pour tenir la comparaison.
À ce stade de la tournée, il se murmure que certains Esquiches veulent s’installer au Japon, amoureux de la culture. Les cœurs d’arti-choux japonais…
En revanche, nous avons fait choux blanc japonais pour le Get 27. Et le 31 et le 58. Parce que oui, nous prenons très au sérieux la quête verte.

Oooooo la la. C’est toutes les olas qu’une dizaine de Baabaas ont essayé de faire partir. Beaucoup d’abnégation de la part de Noah et Emmanuelle, des renforts japonais heureux de participer et malheureusement des petits clapots allant s’éteindre sur les berges des plages de Fukuoka.
Nous avons quand même reçu le prix international des lanceurs de vagues, prix qui peut rendre jaloux un autre lanceur, Snowden. En espérant que notre prix fasse boule de neige (humour Snowden/neige) et que nous arrivions à faire un tour de stade à Kumamoto. Nous les enfants de Chirac San. Japonais super cools, heureux de nous voir, d’essayer de discuter et partager.
Pas de Paquito dans le métro, juste des chansons avec que des gens contents et heureux de partager. Amen, je vous le dis mes frères, putain c’était bon. À tous les Esquiches qui nous regardent depuis la haut, pour la paix et l’amour dans le monde, faut des coupes du monde rugby au Japon tous les jours.

La promesse : Kyoto, deuxième jour

Fidèle à la promesse qui a été faite à Diouf sur le quai du car avant de partir, bin ouais on a cherché le fameux nectar vert au wasabi si cher à Diouf. Et on l’a presque trouvé. On a trouvé le Get 27 au wasabi macération 5 ans. Pas le dix ans.
Alors on va continuer à chercher et écumer tous les bars à whisky et autres bouges remplis de Philippines, les unes plus accueillantes que les autres, du Japon. Certains sont bien allés chercher du côté des geishas mais ces dernières ne servent que du thé. Au wasabi aussi.
Demain c’est Fukuoka. Peut être plus de chance pour le green nectar macération 10 ans.
À noter que pour la suite du séjour il a été décidé d’adjoindre un assistant à notre reporter, ce dernier ayant trop donné de sa personne dans la quête (quête) verte ( et on ne parle pas de Hulk).

Par souci de confidentialité nous tairons le nom dudit reporter par contre l’assistant appointé est un fils de P…reze.

La proximité géographique du voisin coréen donnerait-elle des envies de dynastie à notre Preze vénéré qui n’a d’égal que le plus fort des tsunamis et à côté duquel Fukushima n’est qu’une vaguelette à peine digne d’être bodysurfée.
Toujours est-il qu’une délégation d’esquiches est allée au temple de la fertilité pour verser des seaux de pièces et souhaiter encore plus de descendants à notre bien aimé Fu Manchu 1er.

Premier jour à Kyoto

Visite du temple de Fushimi, du pavillon d’argent, du pavillon d’or… Au programme zen, sérénité et spiritualité. À méditer, la version gin (tonic) et yang:

Tu ne fais pas la fête, tu joues pour gagner, mais tu perds à la plancha, tu perds à la troisième mi-temps. À ce compte-là, tu ferais mieux d’être pro, au moins tu gagnerais du fric

Un pilier de bar

Les Baabaas sont partis !

Après près d’un an de préparation, avec le TomTom club, le groupe au quasi-complet est prêt à s’envoler pour le Japon, et la coupe du monde de rugby.

Nous retrouverons 3 joueurs sur place et ainsi les Barbarians d’Aix-en-Provence au complet affronteront 2 équipes japonaises et une équipe canadienne, dans les villes de Fukuoka et Kumamoto.

Mais pour commencer, un long vol au départ de Nice, avec transit à Dubai nous attend.

La suite, dans 24h…